Au commissariat,un appel vient soudain au central d'aide policier.
-nous vous signalons que notre fils à disparu,il est partit joué avec son chien.
- madame,calmez-vous,quel age à votre fils ?
- 5 ans monsieur,et sa sœur,a 7 ans,j'ignore ce qui s'est passé,mais ils ne sont pas là.
- on va tenté de les retrouvé madame.
un second appel alerta les policiers,celui d'un homme,la voix grave et effrayante
" ce soir,je vous mangerais,jusqu'au dernier !"
quand une voix vient riposter en arrière,il fallut isolé les deux voix,pour identifié la seconde voix,le médecin-légiste s'écria
- c'est un de mes anciens collègues !
- que fait-il avec cet homme ?
- je l'ignore,mais peut-il a-t-il était capturé,le cannibale aime capturer ses victimes,avant de les tuer.
-cela fait partie des hypothèses.
l'équipe technicien et scientifique,informent les policiers,ainsi les médecins-légistes,que personne ne soit trop près du cadavre de l'adolescent.
- pourquoi ? ce vent de panique ?
- constatez les résulta par vous même.
le policier lit le résulta,en affirmant
- mon dieu,ce cadavre contient un virus,vous aviez réussi à l'extraire le pathogène ?
- non,la technologie n'est pas assez avancé,pour le faire.
- à quel virus pensez-vous ?
- trop tôt pour le dire,on sait seulement avoir à faire un virus
les policiers s'interrogent sur l'origine du pathogène,le médecin-légiste réfléchis,il décida de tenter un risque
- pour savoir,si virus est dangereux,on va devoir prendre un risque.
- quel risque ? celle de risquer de mourir à cause d'un pathogène ?
- je parle ici,je prends le risque,de me l'injecter,éloignez-vous,passe-moi la seringue avec le sang qui le contient.
- c'est loin d'être stupide,on n'a réussi à résisté au virus de la variole,en se l'injectant.
- ce virus là,on n'y connais rien,raison pour laquel,on doit se méfier.
le médecin-légiste en déduit,qui fallait trouvé une personne,un volontaire.
malgré plusieurs recherches sans succès,personnes ne se proposé,on du accepté par choix,celui du médecin-légiste,il mit en contact le sang contaminé,avec son propre sang,en se l'injectant.
quinze minutes après,le policier posa une question
- es-ce que ça va ?
- je vais très bien,je suis anormalement en forme,en plus,j'ai de plus en plus chaud,es-ce que ça marché.
- il faut le vérifier,en te prélevant du sang.
après une prise de sang,un des scientifiques le confirme
- en effet,ce virus est bien fonctionnel,un peu trop,pour être naturel.
- vous pensez qu'il est artificiel,je le pense que oui.
les policiers vit le médecin-légiste cherchait dans ses dossiers,et récupéra un dossier,là où on n'avait envisagé de les brûlé.
le temps de posé le dossier
- le descendant du scientifique fou,à peut-être pris la relève,voulant se venger,de la mort,de ses ancêtres.s'inquiéta-t-il.
la possibilité devient alors une piste potentiel,ainsi que de suivre de s'assuré des effets mystérieux du pathogène.
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-nous vous signalons que notre fils à disparu,il est partit joué avec son chien.
- madame,calmez-vous,quel age à votre fils ?
- 5 ans monsieur,et sa sœur,a 7 ans,j'ignore ce qui s'est passé,mais ils ne sont pas là.
- on va tenté de les retrouvé madame.
un second appel alerta les policiers,celui d'un homme,la voix grave et effrayante
" ce soir,je vous mangerais,jusqu'au dernier !"
quand une voix vient riposter en arrière,il fallut isolé les deux voix,pour identifié la seconde voix,le médecin-légiste s'écria
- c'est un de mes anciens collègues !
- que fait-il avec cet homme ?
- je l'ignore,mais peut-il a-t-il était capturé,le cannibale aime capturer ses victimes,avant de les tuer.
-cela fait partie des hypothèses.
l'équipe technicien et scientifique,informent les policiers,ainsi les médecins-légistes,que personne ne soit trop près du cadavre de l'adolescent.
- pourquoi ? ce vent de panique ?
- constatez les résulta par vous même.
le policier lit le résulta,en affirmant
- mon dieu,ce cadavre contient un virus,vous aviez réussi à l'extraire le pathogène ?
- non,la technologie n'est pas assez avancé,pour le faire.
- à quel virus pensez-vous ?
- trop tôt pour le dire,on sait seulement avoir à faire un virus
les policiers s'interrogent sur l'origine du pathogène,le médecin-légiste réfléchis,il décida de tenter un risque
- pour savoir,si virus est dangereux,on va devoir prendre un risque.
- quel risque ? celle de risquer de mourir à cause d'un pathogène ?
- je parle ici,je prends le risque,de me l'injecter,éloignez-vous,passe-moi la seringue avec le sang qui le contient.
- c'est loin d'être stupide,on n'a réussi à résisté au virus de la variole,en se l'injectant.
- ce virus là,on n'y connais rien,raison pour laquel,on doit se méfier.
le médecin-légiste en déduit,qui fallait trouvé une personne,un volontaire.
malgré plusieurs recherches sans succès,personnes ne se proposé,on du accepté par choix,celui du médecin-légiste,il mit en contact le sang contaminé,avec son propre sang,en se l'injectant.
quinze minutes après,le policier posa une question
- es-ce que ça va ?
- je vais très bien,je suis anormalement en forme,en plus,j'ai de plus en plus chaud,es-ce que ça marché.
- il faut le vérifier,en te prélevant du sang.
après une prise de sang,un des scientifiques le confirme
- en effet,ce virus est bien fonctionnel,un peu trop,pour être naturel.
- vous pensez qu'il est artificiel,je le pense que oui.
les policiers vit le médecin-légiste cherchait dans ses dossiers,et récupéra un dossier,là où on n'avait envisagé de les brûlé.
le temps de posé le dossier
- le descendant du scientifique fou,à peut-être pris la relève,voulant se venger,de la mort,de ses ancêtres.s'inquiéta-t-il.
la possibilité devient alors une piste potentiel,ainsi que de suivre de s'assuré des effets mystérieux du pathogène.
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